projet inter laboratoires
 La super-hydrophobie fournit aux surfaces des propriétés fonctionnelles remarquables : déperlance, auto-nettoyabilité, anti-contamination, anti-bactérien, faible coefficient de frottement, anti-givre, haut rendement énergétique… La maîtrise de cette propriété revêt donc un caractère scientifique et technologique de premier plan. Le projet 3DSURF propose une voie nouvelle de fabrication de surfaces super-hydrophobes dites « complexes ». La voie proposée repose sur le développement d’un procédé de fabrication de surfaces métalliques mettant en jeu la fabrication additive hybride (additive et soustractive) et la texturation de surfaces par procédé laser.
La super-hydrophobie fournit aux surfaces des propriétés fonctionnelles remarquables : déperlance, auto-nettoyabilité, anti-contamination, anti-bactérien, faible coefficient de frottement, anti-givre, haut rendement énergétique… La maîtrise de cette propriété revêt donc un caractère scientifique et technologique de premier plan. Le projet 3DSURF propose une voie nouvelle de fabrication de surfaces super-hydrophobes dites « complexes ». La voie proposée repose sur le développement d’un procédé de fabrication de surfaces métalliques mettant en jeu la fabrication additive hybride (additive et soustractive) et la texturation de surfaces par procédé laser. 
 L’ensemble du projet 3DSURF sera réalisé dans le cadre d’une démarche de biomimétisme. Depuis l’inspiration de motifs de surface issus du monde vivant jusqu’à l’analyse du cycle de vie des surfaces générées, les règles du monde vivant seront mises en œuvre sur l’ensemble du projet : sobriété, recyclabilité, faible impact environnemental. Le projet 3DSURF, par sa démarche de biomimétisme et par les solutions proposées en termes de super-hydrophobie durable et robuste, permettra le développement d’un renouveau industriel intégrant la science des données pour une ingénierie numérique.
L’ensemble du projet 3DSURF sera réalisé dans le cadre d’une démarche de biomimétisme. Depuis l’inspiration de motifs de surface issus du monde vivant jusqu’à l’analyse du cycle de vie des surfaces générées, les règles du monde vivant seront mises en œuvre sur l’ensemble du projet : sobriété, recyclabilité, faible impact environnemental. Le projet 3DSURF, par sa démarche de biomimétisme et par les solutions proposées en termes de super-hydrophobie durable et robuste, permettra le développement d’un renouveau industriel intégrant la science des données pour une ingénierie numérique.Les besoins industriels en surfaces super-hydrophobes sont très nombreux : augmentation des rendements énergétiques, surfaces antigivre, auto-nettoyantes, auto-décontaminantes, à faible frottement, anti-bactériennes, surfaces à faible coefficient de trainée… La limite principale pointée par les industriels qui ont besoin de surfaces super-hydrophobes vient de la durabilité et de la robustesse de la fonction. Le projet 3DSURF par son approche de fabrication hybride permet de répondre de façon innovante à ces deux attentes. Sur des matériaux métalliques tels qu’envisagés dans 3DSURF, cela sera, à notre connaissance, une première internationale. Ainsi, le projet se positionne sur les filières socio-économiques Chimie et Matériaux, Aéronautique, Automobile, Nucléaire et Santé.

CALY TECHNOLOGIES, MECALAM, CCI LYON, VIBRATEC, THALES, AREVA, VOLVO, RENAULT, MICHELIN, ANNEALSYS, HUTCHINSON, EDF R&D ENERBAT, RIBER, SKF, EDF, PSA Peugeot-Citroen, SAFRAN, CARA, ST MICROELECTRONICS, ...